Alice Oda W O N D E R L A N D [~FICHE FINI~]

Votre Personnage :

Nom: Oda
Prénom: Alice
Âge: 16 ans et née le 26 février
Classe:Lycée, niveau 1
Alice:Invocation d'entité démoniaque: Cet Alice permet à son détenteur d’invoquer un être venant de son plan d’origine, ici l’enfer, puisqu’Alice n’a pas accès sur le paradis.
La créature invoqué puise directement dans l’énergie vitale de son hôte, la quantité dépend, elle, de la puissance du démon appelé.
Un petit démon tout faible n’aura quasiment pas d’impact sur sa santé, tendis qu’une énorme entité lui fera frôlé la mort.
La créature invoquée ne pourra pas rester éternellement sur terre, sauf si il en va de sa propre volonté. Mais si Alice le force et que celui-ci veut partir, elle ne pourra le restreindre que quelques heures, si ce n’est quelques minutes pour les grosses entités.

En clair, tout (la durée, le choix du démon) sont définis selon l’énergie vitale d’Alice.



Caractère:On vit dans un monde de fou n’est ce pas ? Eh oui, certaine personne le sont simplement plus que d’autres.

Alors que la plupart des filles de son âge préfère la mode et les garçons, qu’en est-il d’Alice ?
Je vais d’abord me fixer sur l’image qu’on les gens d’elle.
J’y vois quelqu’un qui voudrait se fondre littéralement dans le décor, souhaitant disparaître de toute son âme. Mais sa ne marche pas vraiment, tout au contraire.
Cette fille dégage une aura à laquelle chaque personne qui y est confronté ne peut décoller son regard d’elle, tant elle est envoutante. Seulement, quand celle-ci apprend qu’on l’épie, elle vous jette un regard de haine si pur qu’il vous ai impossible de ne pas baisser les yeux.
Elle vous fixe avec une telle intensité et un tel calme, son visage restant impassible en toute circonstance. Toutefois, on continuera de jeter quelques regards furtifs pour mieux l’analyser. Finalement, pour pas grand-chose.
C’est le genre de personne déjà calme de nature, et qui était éprouvé par les aléas de la vie. En clair, elle est capable de rester des heures sans bouger, sans manifester la moindre émotion, simplement en puisant son calme de ses souvenirs qu’elle re-explore pour la millième fois.
Allons lui parler.
Cela pourrait être n’importe quelle phrase, avec n’importe quels mots, j’obtiens toujours la même réaction venant d’elle : Elle me regarde avec ses grand yeux rouges, si profonds que j’ai l’impression d’y perdre pieds.
Son visage ne change pas, elle me fixe simplement en attendant je fasse le moindre signe de faiblesse. A ceci, je peut presque conclure qu’elle fait partis de cette catégories de personne qui déteste perdre.
Faut-il l’énerver pour obtenir une réponse ? Je ne m’y risquerais pas.
Mais au fond, je suis sûr qu’elle n’attend qu’une chose : un signe d’affection, pas de pitié ni de compassion, juste un peu d’amour brut.
Cependant, je pense qu’elle n’est pas actuellement prête à en recevoir, pas encore. Elle doit être consciente qu’elle met cette barrière imaginaire d’elle-même, seulement elle ne veut pas l’enlever. « Celui qui pourra aller au-delà de ce mur infranchissable pourra m’atteindre. », Semble t-elle clamer tout haut.
Finalement, Alice s’avère avoir d’autre défaut que ceux vu de l’extérieur. Elle est très avare, mais d’une avarice à toute épreuve : pour elle, tout, mais alors absolument TOUT, les moyens sont bon pour obtenir un peu d’argent. Et oui, l’argent fait tourner le monde, dit-elle.
Ce qui parait se lier avec un autre de ses défauts, elle est très radine. Vous ne lui arracherez jamais un sou, même lorsqu’elle sera morte.
Enfin, pour le reste aussi ! Hors de question pour elle, de partager un repas avec un malheureux ou de donner un peu d’argent à un grand père malade !
Autre chose, dû à son passé, elle ne supporte pas d'être enfermée, elle est devenue claustrophobe.
Vous l’aurez remarqué, elle est également très cynique, le sort de autres lui importe peu, à vrai dire, c’est même sa dernière préoccupations. Ajouter à cela un terrible je m’en foutisme.
Tout cela débouche sur un trait que l’on peut considérer comme une qualité ou un défaut, elle est extrêmement calme. Un calme à toute épreuve.
Dans n’importe quelle situation, on peut aisément lui confier ce rôle de pilier où elle ne défaillirait pas. Car malgré ces petits défauts, et non des moindres, on peut vraiment lui faire confiance. Jamais, si elle vous considère ne serait-ce qu’un peu, elle ne fera quelques choses à votre désavantage.
Et si vous avez un jour la chance qu’elle vous apprécie, vous serez pour elle l’être le plus cher qui puisse exister, tant sa fidélité est exagérer. Elle sera pour vous un allier très fiable et très dévouer.
Elle adore également utiliser son alice pour tout et n'importe quoi, qu'importe que cela lui fasse mal.

Elle a une façon particulière de voir l'école, car vu qu'elle n'y ai allée que pendant sa plus tendre enfance, cela ne lui fait absolument ni chaud ni froid, elle ne sait pas, ou plutôt plus, ce qu'il l'y attend.



Physique: Alice.
Quand je prononce ce nom, à quoi donc pensez-vous ? De joli cheveu blond comme le soleil, décoré d’un petit serre-tête noir. Un teint de pêche, de grands yeux bleus, une petite bouche toute rose ainsi qu’un petit nez fin. Le tout dans un joli visage d’enfant.
Un, ou plutôt une enfant habillé d’une robe bleu ciel à la dentelle blanche, avec un joli nœud blanc derrière. De petits souliers noirs bien vernis agrémenté de hautes chaussettes blanches à dentelles.
Non.
Notre Alice n’a absolument pas cette image de conte de fée, Tim Burton, Lewis carol, ou autre Disney.
Ici, nous allons décrire une jeune fille d’une taille un peu inférieure à la moyenne. Elle a de sublimes et longs cheveux noirs qui tombent en cascade jusqu'à ses fesses, qu’elle n’attache que bien rarement. Bien qu’ils sont très longs, ils ne sont ni fourchus ni abîmés, chose bien rare.
Elle ne possède pas de « dégradé » mais simplement une petite frange. Son seul point commun avec l’autre Alice, se serait bien son visage.
Il est bien ovale, presque parfait, et n’est pas enlaidis par une vilaine peau boutonneuse, tout au contraire, mais l’étalage de cosmétiques dont elle dispose n’y sont pas pour rien, bien que personne ne sait si elle les utilise vraiment. Elle se contente simplement de regarder son interlocuteur de ses grands yeux, sans rien répondre.
Elle n’a pas de sourcils broussailleux, ils sont très bien placé, cependant elle ne peut pas s’empêcher de les épiler. Ils surlignent donc très bien son magnifique regard, assez particulier. En effet, ses yeux sont d’un rouge pétant, dit « rouge sang », surmontés de magnifiques cils épais et d’un noir ébène, bien que le mascara y soit pour quelques choses.
Plus bas, on distingue un nez parfait, sans verrue ni poils qui dépassent. Sa bouche est sans doute celle de Blanche-Neige : rouge comme le sang et dessiné par une main d’artiste. Tout ce petit visage est soutenu par un fin et gracile petit cou tout blanc, mais pas sans cicatrice.
En effet, lié à son passé, elle est forcé à arborer une sorte de collier de ronce, en vérité comme des lianes surmontées d’épines qui s’enroule autour de son cou, formant plusieurs « collier ». Elle n’aime pas que l’on parle de ce défaut physique qui, selon elle, défigure le reste de son corps.
Elle est visiblement mince, avec de petits bras fins collé à un tronc dépourvue d’une poitrine opulente, bien qu’elle ne soit pas invisible non plus.
Sa chute de rein est tout simplement affriolante et nous fait tomber sur une paire de fesses discrètes, tendis que ses jambes au galbe fuselé donnent naissent à de petits pieds taille 37. Sa peau est très clair, ce que contraste bien avec les robes étranges et sombres qu’elle porte, bien qu’elles soient du plus bel effet sur elle.

Histoire: Il était une fois…
Non.
Ce « il était une fois » n’est destinée qu’aux contes de fées avec un magnifique happy end à la fin. Ici, je ne suis pas sûr du fameux « happy end », à vrai dire je pars même pessimiste. Seulement voila, elle s’appelle Alice. Mais ce n’est pas celle que vous connaissez tous. Mais pour commencer notre histoire comme il se doit, je dois commencer par un début que nous connaissons, pour déboucher sur une histoire que nous ne connaissons pas.
Il était une fois… Une prostitué. Une pauvre fille sans le sou avec l’obligation de vendre son corps pour arrondir ses fins de mois. Ou plutôt pour crée celle qu’elle n’avait pas. C’est donc un passant qui va la « mettre en cloque », comme disent les autres…
Quand cette femme va s’apercevoir, un peu tard, qu’elle est enceinte, sa vie s’écroule : elle qui avait déjà du mal a subvenir à ses besoins, alors avec un bébé ? Elle n’a même pas la consolation de connaître le père de l’enfant, et c’est ce qui fait apprendre à sa famille qu’elle exercer le métier de fille de joie. Jamais un tel secret n’aurait du se savoir. Une dispute éclata dans la famille, et la futur grand-mère hurla que, de toute façon, cette enfant serait maudit. Le jour de sa naissance est une erreur. Sa mère est une rose. Son père un inconnu. L’enfant lui-même est une erreur. C’était un certain 26 février, et il neigeait si fort qu’un épais manteau de neige recouvrait la maternité, et la petite mare d’à côté était entièrement gelée, si bien que de nombreux enfants s’amusaient à marcher dessus.
D’intenses douleurs, mais un accouchement pas trop difficile. C’est juste que le bébé n’a pas l’air en grande forme, tout au contraire, il est très faible. Il, ou plutôt elle ne pousse pas son premier cris tout de suite, il lui faudra une petite claque pour émettre un grognement. Placé sous couveuse, elle n’est pas très vivace. La mère doit attendre quelques jours avant de rentrer chez elle. Ouf, elle aura un toit pendant ces quelques nuits.

Six ans plus tard, Alice vit dans un petit appartement avec sa mère, qui a repris ses fonctions. Elle est contrainte d’emmener sa fille avec elle sur le bord des routes, pour ne pas la laisser seule…
Vraiment écœurant. De plus, cette dernière considère sa fille à peut près comme une croute sur une plaie. Il faut la laisser le temps que ça cicatrise jusqu’au moment où on pourra la détacher, s’en défaire et la bazarder.
Alice ne tient en vie que grâce au frigo du client et l’eau du robinet. Pas d’amour, pas de tendresse, pas de parent. Mais pour elle, qui vit comme cela depuis sa naissance, cette vie n’a rien de répugnante. Elle survie comme elle peut.
Elle préfère même dormir sur le canapé d’un inconnu que dans son lit d’enfant, seule avec sa terrible mère… Car à chaque fois qu’elle rentre « à la maison », c’est pour connaitre les pires humiliations et les quelques tortures physiques et mentales que sa mère lui fait subir.
Punching-ball, chargé de ranger ce dépotoir, pire même, de servir sa mère ! Bien sur, elle va à l’école, ces seules moments de libertés, mais elle est si discrète que personne ne la remarque, pas même ces bleus sur le cou ou ces brulures sur les bras…
Jusqu’au jour où elle va enfin dire un mot, le seul qu’elle adressera à sa mère : Non.
Elle refuse de participer à ce « jeu » infâme qui consiste à jouer avec la quequette du monsieur.
Tout, mais pas ça, pas ça, pas ça !!!

Une dispute, des coups, Alice ne se souvient plus vraiment. Juste qu’elle est balancé du premier étage par sa mère. Mais qu’elle s’en sortira sans aucune blessure : une poubelle remplie miraculeusement par un matelas éventré ! C’est à cette instant qu’elle va connaitre la colère, la vraie.
Celle qui pousse à tuer des gens. Elle s’évanouira avant d’avoir vu le spectacle qu’elle va déclencher. Elle aura invoqué une sorte d’entité démoniaque, en échange d’une part de sa vie. Celui-ci commettra un véritable carnage dans l’appartement du premier étage.
La police conclura à une dispute ayant mal tournée, et que dans la bagarre une des conjoints aurait malencontreusement jeté la petite. Mais oui.

Placé dans un hôpital psyquatrique pour enfant, elle se retrouva dans une chambre avec la plus étrange des enfants : Jun.
Alice se réveilla dans une pièce toute blanche, sur un lit très moelleux. Mais avec une petite fille de son âge allongé à côté d’elle et la fixant.
Cette petite fille, c’était tout simplement Blanche-Neige : De longs cheveux noirs ébène descendaient en cascades sur son dos en boucles anglaises. Des yeux marrons si sombre qu’on eu cru qu’ils étaient noires et des lèvres bien rouges. Sans oublier sa peau toute blanche. Les deux fillettes avaient tout simplement pour vêtement des robes blanches à manches courtes, fournis par l’établissement.

« - Bonjour, Alice »
Lui avait-elle dit d’une vois sombre et mystérieuse. Alice n’était pas très rassurée, mais c’était la première fois de sa vie qu’elle était seule avec une autre enfant dans la même pièce. Son cœur s’emballa, et répondu tout de suite, alors qu’elle n’ouvra la bouche que pour crier auparavant.

« - Euh…. Bon…jour ? T…tu…es ?
-Mon nom est Jun. Alors, tout aussi tu as un alice ?
- Un… un qu..oi ? A..lice ? C’est mon…n…nom !
-Oui, mais c’est aussi un pouvoir que possède certaines personnes. Toi et moi en faisons partis. Quel est le tien ? Moi, je possède l’alice de possession, mais ne t’en fait pas, je ne l’utiliserais pas sur toi !
-Moi… Je ne sais pas. »

Elle avait réussi à enchainer les trois derniers mots sans interruptions, mais elle n’en avait vraiment aucunes idées. Le mystère total. Qu’avait-elle fait cette nuit là ? Mystère…

« -Tu sais, des hommes sont venus et ont données une grosses sommes pour nous avoir ! »

Alice n’eu pas vraiment le temps de répondre. Quatre hommes entrèrent, tout en noire, tendis qu’un infirmier entra avec une seringue. Pas le temps de protester, le noir total. Un simple mais puissant somnifère.

Cette fois, ce n’était pas un lit confortable, mais une cellule froide avec un lit en métal surmontée d’un drap pour sommier. Il faisait un peu froid, et de plus Alice était nue, on lui avait ôté ses vêtements.
Les murs et le sol étaient uniformément gris. Soudainement, deux hommes en tenue d’infirmier vinrent la chercher : ils lui dirent en premier lieux de se plaquer au mur, les mains derrière le dos. De peur, la petite fille n’eu pas le courage de refuser.
Alors que sa tête était face au mur, elle sentie de lourdes cordes s’enroulaient autour de ses poignets, puis un collier de métal s’harnacher autour de son cou, et enfin un bandeau sur ses yeux pour masquer sa vue. Un des hommes tenait la corde, tendis que l’autre tenait un une sorte de bâton électrifier, comme pour les bêtes. Alice marcha dans d’interminable couloir, elle sentait le sol froid sous ses pieds.
Enfin, elle fut conduite dans une salle et attacher au mur. Son bandeau retiré, elle put voir une pièce vide, avec un canon face à elle, et, à coté, dans une autre pièce séparé par celle d’Alice par une vitre, elle vit plusieurs personnes sur des ordinateurs et d’autres la fixant froidement.
Une boule de fer grosse comme une boule de billard lui frôla le bras, pour venir atterrir lourdement dans le mur. La petite fille ne pus s’empêcher de pousser un cri, elle supplia d’arrêter, que cela ne servirait à rien. Deux autres boules furent envoyés par le canon, toujours en la frôlant, mais sans rien lui faire. Puis la quatrième lui toucha légèrement le ventre, et c’est alors qu’un déclic se fit. Elle réussi a appelé un puissant démon, malgré sa faiblesse et le coup de fatigue que celui-ci lui apporta. Il se manifesta sous la forme… du chat du Cheshire ! Il était seulement visible par elle. Il tournoya sur lui-même, et lui demanda, non sans magnifique sourire, la raison pour laquelle elle l’avait appelé, lui.
Elle hurla, les yeux pleins de larme du à la douleur :

« -Tue les !!! Crève les tous !!! »

Le chat disparu dans une trainée de fumée : C’est là qu’elle vit, un à un, les hommes qui l’avait regardé s’effondrer, privés de leur cœur que le démon avait arraché… Finalement, elle n’aura pas voulu les tuer : ce spectacle sanglants la fit défaillir, elle se sentit si mal qu’elle s’évanouit.

Elle se réveilla beaucoup plus tard. Elle était dans le noir absolue : elle n’y distinguait rien. Une douleur insupportable au cou… Mais qu’est ce donc ???Elle tâta du bout du doigt. Des ronces ! Ils l’avaient attaché au lit avec des ronces !!! Alice eu vraiment très peur, mais lorsqu’elle voulu de nouveau utiliser son pouvoir, rien ne se produisit : elle était si faible que même le plus petit démon l’aurait vidé de sa vie. Mais deux grands yeux apparurent alors : les yeux du démon ayant pris l’apparence du chat. Son sourire se dessina dans l’obscurité : c’était vraiment effrayant, tellement qu’Alice se sentait de nouveau défaillir, mais combien de temps allait-elle supporter tout cela ?!

« -Tout cela est tellement, tellement intéressant !!!! Je meurs d’envie de voir la suite, le cœur m’en tombe… »

Tout ces étranges mots étaient suivis d’un rire affreux, un rire de fou…Jusqu'à ce qu’Alice crû vraiment à ce moment qu’elle allait mourir d’une crise cardiaque ou autre dû à l’émotion : Elle sentit un cœur encore tout chaud coller à son pied, sans doute un des hommes que ce chat avait arraché.
Horrible, horrible, c’en ai trop. Alice ne pouvait plus supporter tout cela. Depuis combien de temps était-elle ici ? Des minutes, des heures, des jours ?! Elle voulu se tuer, ce cauchemar devait finir ! Elle hurla de douleur lorsqu’elle tira sur les ronces pour se couper la gorge. Et n’y arriva même pas, la douleur était trop forte et les dégâts pas assez important… Toutefois, son cri fit dresser les cheveux sur la tête à une autre personne présente dans la pièce. Jun hurla à son tour de frayeur.

« -Alice ?! … Quelqu’un ? »

Le sourire inquiétant du chat disparu dans un nuage de fumée et les deux filles se reconnurent, et elles échangèrent les questions types que deux gamines dans cette situation se posent : pourquoi t’es là ? Alice lui raconta tout, l’horrible canon, le démon, puis les cœurs… Ainsi que l’histoire de sa vie. Elle apprit, elle, que Jun venait d’une famille aisée, mais que son alice, qu’elle employé très souvent depuis sa plus tendre enfance le sien. Mais depuis quelques temps, elle ne faisait plus que l’employé et ne regagner quasiment plus son corps, sib bien que son entourage faisaient des bourdes incroyables à cause d’elle, gamine dans un corps d’adulte, si bien qu’on jugea utile de l’interner. Seulement, Z avait trouvé les deux gamines plus vite que l’académie.
Mais Jun s’était fait enfermé car un des membres du personnel c’était fait piéger : Jun n’avais plus qu’a se diriger vers la sortie. Elle fût donc mise sous contrôle, là ou le monde entier les oublia…


Personnes ne sait aujourd’hui combien de temps sont resté les deux fillettes dans le noir. Des années, oui, mais combien ? Jun, de désespoir, avait quitté son corps pour aller directement dans celui d’Alice, dans un coin de son esprit. Deux personnes dans le même corps, deux âmes dans la prison qu’est le corps, ou comme la prison qu’était cette pièce noire… Personne non plus ne vint enlever le cadavre de Jun. On faisait passer la nourriture aux gamines par seulement une perfusion, mais l’une d’elle était morte ! La négligence avait atteint son apogée…

Jusqu’au jour ou la porte s’ouvrit, une épaisse lumière blanche vint traverser la pièce : L’académie, enfin ! Un certain alice du feu vint brûler les ronces qui s’était propagée sur son corps, et une autre personne la prit délicatement dans ses bras : direction l’académie alice.
Alice vit de fins cheveux blonds caresser son visage, sans aucun doute ceux de Narumi. Quand il vit que l’adolescente remuait un peu, il déposa un baiser sur ses lèvres et lui envoya une forte dose des phéromones. Alice, ne pouvant rien faire face à cela, s’endormit littéralement dans ses bras, tendis que Narumi la déposa dans une limousine noire.

Direction l’académie Alice…

Vous :

Prénom: Pauline
Âge: 16 ans
Comment avez vous connu le forum ?: Par hasard
Combien de fois par semaine pensez vous être présent? plein de fois que le weekend x)
Par jour ?
Une remarque ? bas je ne sais pas encore x)


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Bienvenue sur ce forum mort ._."

Welcome !!
Eh oui, malheureusement un peu mort u_u (plus vraiment le temps de m'en occuper mais je vais esayer...)
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